Franceska « Usé par les hommes, usé par la vie, usé d'être incompris. » -ADMIN.

FRANCESKA AUTUMN SCHWARZMANN ”

« Si l'on est différent, il est fatal qu'on soit seul. » de Aldous Huxley.

“ HISTOIRE

Née au cœur de Berlin, d'un père mondialement connu pour sa musique et d'une mère mannequin, la petite Allemande aurait normalement du vivre un bonheur parfait dans cette famille riche et belle. Seulement, les choses ne se sont pas déroulées comme ils l'auraient voulu et comme tous les gens l'avaient prédit. Alors qu'elle était simplement bébé, la mère avait fait comprendre aux médecins que sa fille était laide et qu'ils s'étaient sans doute trompés d'enfant. Étant confrontée chaque jour au monde de la mode et des corps parfaits, elle s'y connaissait beaucoup pour dire que Franceska était horrible, à vomir. Plus le temps passait et plus l'enfant dégoutait les deux parents. Ils se demandaient bien comment ils avaient pu faire une telle chose - car oui pour eux c'était un simple machin et non leur petite fille chérie - alors qu'ils étaient merveilleusement beaux tous deux. Ils n'arrivaient pas à l'aimer correctement et dès qu'ils l'apercevaient, c'était limite s'ils quittaient la pièce. Selon eux, c'était une honte d'avoir une fille de la sorte et ce qui les terrifiaient le plus, c'était le fait qu'ils ne pouvaient rien y faire, c'était comme ça et pas autrement. Repoussée par ses parents dès son plus jeune âge, ça ne promettait pas d'être plus beau ensuite.

Ce fut à ses cinq ans qu’elle rentra en maternelle et ce ne fut pas plus joyeux qu’en famille. Personne ne l’acceptait et bien que les institutrices essayaient de faire quelque chose pour son cas, aucun autre enfant ne désirait jouer, ou ne serait-ce que discuter un peu avec elle. A cet âge-là, logiquement, les gosses ne se soucient pas du physique, normalement tout est beau et magique, et l’insouciance règne au premier abord. Mais encore une fois, Franceska était mise à l’écart, tout le monde la rejetait, ou plutôt quiconque n’osait aller la voir, car elle ne faisait jamais le premier pas. Elle était toujours assise par terre, pour cause le manque de places sur les bancs, mangeant ses barres de céréales et en ne pensant à rien. A cette époque, elle n’y prêtait pas attention, et elle ne savait pas encore qu’être seule, ce n’était pas si bien vu. Déjà petite, on voyait d’elle la fille différente qu’il fallait avant tout éviter. Elle était gentille et souriante pourtant, seulement quand elle le voulait certes, mais on avait rien à lui reprocher. Peut-être que c’était sa laideur qui repoussait tout le monde, peut-être que d’autres raisons les poussaient à ne pas sympathiser avec elle, mais en tout cas, elle était toujours autant seule, que ce soit chez elle ou à l’école, et ça allait la bouffer de l’intérieur si cela continuait. . Entre temps, son père était plus souvent à la maison, car sa tournée était finie et qu’il n’avait pas de créations de disques prochainement. En étant désormais obligé de s’occuper de sa fille, il comprit rapidement grâce à elle, que le physique était loin de faire tout. Il remarquait au fil des jours que son enfant était la meilleure chose qui lui était arrivée. Elle avait maintenant six ans, rentrait en première classe de primaire, et il ne put s’empêcher de l’accompagner. Il voulait tout faire pour elle, et puisqu’en maternelle elle n’était pas acceptée, il ferait tout pour qu’elle le soit cette année-là. De ce fait, il discuta rapidement avec le directeur qui lui promit de l’intégrer du mieux qu’il pourrait. Et il avait tout fait puisque le lendemain, Autumn rentra avec un grand sourire en sautant dans les bras de son père. Le soir même, le père s’était assis sur le banc de la terrasse tout en jouant de la guitare, puis Franceska s’était assise sur ses genoux et lui avait demandé. « Papa, tu m’apprendras à jouer ? » « Donne moi ta main, tu vas jouer avec moi » avait-il simplement répondu.

Depuis ce jour, chaque soir, ils étaient dans la même posture et son père lui enseignait toutes les règles et manières pour jouer parfaitement de la guitare. A ses sept ans, elle a commencé à jouer toute seule, sans l’aide de son père et ce dernier était totalement fier d’elle. Il se demandait quand même comment il avait pu détester une fille aussi brillante. Il avait toujours des yeux émerveillés, brillants, prêts à pleurer de joie devant cet être. Elle jouait si bien, sa mélodie était belle, et il aurait pu l’entendre des heures durant. Puis un jour, sans s’y attendra, elle lui demanda de lui apprendre le piano. Il ne savait pas en faire, ce n’était pas son domaine, du coup il l’inscrit simplement à ses 8 ans dans un cours approprié. Encore une fois, ils se retrouvaient tous les soirs sur la terrasse, lui accompagné de sa propre guitare, et elle, lui montrait ce qu’elle venait d’étudier dans la journée. Ils étaient rapidement devenus proches, étaient fusionnels et passaient la plupart de leurs soirées ensemble. Quand ce n’était pas parmi la musique, c’était à travers le septième art, le cinéma. Ils faisaient tout ensemble, et pour Franceska, son père était son modèle, et elle aurait voulu avoir un garçon de la sorte dans sa classe, parce que pour elle le prince charmant, c’était lui. D’ailleurs, la mère en avait parfois assez de les voir toujours en train de fricoter ensemble, il n’y avait même plus de place pour elle ici. Heureusement elle était très souvent dans son agence de mannequinat, elle n’avait donc pas à les regarder à longueur de journée. C’était à présent elle qui était à l’écart et elle haïssait sa fille encore plus après ça. Elle ne s’était toujours pas remise que celle-ci soit moche, elle n’avait pas à l’accepter, alors elle l’ignorait simplement. Elles n’avaient en fait jamais discuté, rien qu’une phrase écœurait la mère. Elle ne l’aimait pas mais en plus de ça, elle n’essayait même pas de faire un effort. Pendant ce temps, elle rentrait au collège, autre étape bouleversante de sa vie. Cette époque, elle aurait mieux voulu l’éviter, la retirer de sa vie, c’était sans aucun doute la pire. La maternelle, elle n’avait pas pris conscience qu’elle était seule, d’un côté elle était petite, elle ne s’en rappelait déjà plus. Seulement en sixième, personne ne l’aimait. Elle avait un style différent, un caractère différent, une personnalité différente, une mentalité différente. Personne ne la comprenait, personne n’essayait de la comprendre, personne n’essayait de devenir son amie. Comme sa mère, les élèves n’essayaient pas de la connaître ou même de l’apprécier. Ils ne regardaient que le physique, il ne leur plaisait pas, alors tant pis pour elle. Seulement, durant quatre ans elle a horriblement souffert. Toutes sortes de tortures s’offraient à elle. Chaque fois, elle se disait que le lendemain serait meilleur et que surtout, tout ça serait fini. Elle essayait tant bien que mal de positiver, mais c’était assez dur sachant qu’elle recevrait du papier toilette mouillé dans les cheveux ou même de la nourriture, que les gens s’amuseraient à lui faire des croche-pieds dans le couloir, ou encore qu’elle mangerait toute seule. C’était le même enfer pendant quatre ans, mais elle ne put rien faire et elle n’avait aucune envie de contester. « Je vois mon père ce soir, je le vais le voir et tout ira mieux ensuite » se disait-elle chaque matin. C’était le seul moment qu’elle attendait avec impatience à chaque fois, un moment magique comme toujours. Durant ces quatre années, elle s’est mise à chanter dès ses onze ans. Elle n’avait jamais eu de cours, ne participait pas à une chorale, mais sa voix était indescriptible. Elle était resplendissante et plus le temps passait, plus son père l’admirait.

Le lycée. Grand étape d’un adolescent. Les meilleures années d’une vie selon… tout le monde. Et c’était vrai. Elle avait enfin sa bande d’amis, n’était pas repoussée et les gens ne faisaient plus vraiment attention au style vestimentaire, même si ça ne leur plaisait pas, ils s’en fichaient, ils regardaient ce qu’il y avait à l’intérieur, enfin généralement. Elle recevait encore quelques injures, mais elle avait tellement pris l’habitude que ça ne lui faisait plus rien du tout. Elle ne s’isolait plus vraiment, mais passait toujours des bons moments avec son père, un peu moins tout de même. Elle était plutôt préoccupée à faire de nouvelles rencontres et amis, et surtout à aller à de nombreuses fêtes, fumer n’importe quelle substance, et boire quand l’envie lui prenait. En clair, elle s’était totalement métamorphosée en une fille normale, plus différente. Elle avait toujours ce style de garçon manqué, mais pourtant ça ne l’empêchait pas d’être comme les autres, c’est ça qui la rendait si heureuse. Une fille devint rapidement sa meilleure amie. Elle ne savait pas réellement comment s’y prendre avec elle, car c’était bien la première fois qu’elle était aussi proche de quelqu’un, en particulier d’une fille. Elle n’avait jamais eu d’amis, alors avoir de suite une meilleure amie, ça lui faisait tout drôle. Elle l’aimait beaucoup et s’amusait énormément avec, c’était l’essentiel. Seulement au bout d’un an et demi à être toujours fourrés ensemble, Franceska comprit qu’il ne s’agissait pas simplement d’amitié. Encore une fois, elle n’avait jamais eu de petit ami et ne connaissait pas vraiment ce sentiment qu’était l’amour, mais quelque chose se passait dès qu’elle apercevait Amanda, cette amie. Elle en était raide dingue, mais elle avait mis du temps à le saisir. Elle lui alors annoncé, près d’un lac à Berlin. Cette dernière l’a totalement mal pris et s’est enfui en lui criant en même temps « Je ne peux plus te parler maintenant que tu m’aies dit ça. C’est mieux qu’on s’ignore ! ». Et elle fut partie. Le lendemain, Franceska avait essayé de lui faire la bise, mais elle l’avait repoussée en lui lançant un regard qui disait tout. Qui disait qu’elle devait partir tout de suite. Qui disait qu’elles ne seraient plus amies, ni même potes et qu’elle l’avait perdue. Elle avait mal. Elle s’était mutilée un jour, puis elle avait caché son bras durant le mois qui suivit. La voir tous les jours, c’est ça qui la faisait souffrir. Elle avait la rage. La rage de lui avoir déclaré la vérité. La rage de savoir qu’en fait, elles n’étaient pas si amies que ça, sinon elles auraient survécu à n’importe quoi, même à cette révélation qui peut faire peur sur le coup certes. Mais elle était si belle, si gentille, si drôle… que cela aurait inévitable que Franceska soit tombée amoureuse d’elle. En même temps d’avoir perdue sa meilleure amie, elle perdit également sa mère qui décida sur un coup de tête de divorcer avec son père et de s’en aller avec son amant en Australie. Pourtant perdre sa mère, ça ne lui fit rien. Elles ne s’étaient jamais parlées, alors bon, ce n'était pas comme si ça allait créer un vide, d'autant plus qu'elle était quasiment absente à la maison. Elle préférait baiser plutôt que de s'occuper de sa fille ou de son mari.

Pour oublier tout ça, elle alla constamment à des fêtes. Elle rencontra d’ailleurs dans l’une d’entre elle la fameux Jakob Grimm, un type très populaire dans son lycée. Tout le monde parlait de lui, tout le monde l’aimait et elle l’avait tant admiré. Elle ne le connaissait pas, mais il était pour lui un grand modèle. Elle le regardait parfois discrètement tellement il était beau. Ils étaient tous les deux en terminale, mais pas dans la même classe, pourtant elle en rêvait. Elle aurait tout donné pour recevoir un baiser de cet être. Tout. Mais elle eût bien autre chose. Quelques verres dans le nez, beaucoup d’alcool dans le sang mélangé avec des substances de tout genre, la voilà complètement bourrée et défoncée. Elle ne put rien faire. Ils n’étaient en plus de ça tout seuls dans une chambre à boire comme des trous, donc personne à l’horizon pour l’aider. Et il a profité d’elle. Elle a crié de toutes ses forces, mais il lui a bloqué la bouche pour qu’aucun son ne sorte. Il a failli l’étouffer. Elle avait beaucoup bu mais elle restait consciente. Ca faisait mal, elle n’en avait pas envie, plus du tout. Il était violent, tellement qu’elle n’osait plus bouger, plus rien faire. Elle était allongée, lui au-dessus et elle ne contrôlait plus rien. Elle était bien trop bourrée pour y faire quelque chose. Elle se laissa faire, car de toute façon, aucun autre choix ne s’offrait à elle. Elle était détruire rien qu’au moment où il lui faisait l’amour d’une façon sauvage. Elle avait mal, que ce soit physiquement ou mentalement. Elle avait hâte que ce soit fini. Dix minutes suivirent, et il partit puis s’enfuit. Elle était nue, les larmes dégoulinaient sur sa tronche de garçon manqué, et elle continua à pleurer encore et encore, sans s’arrêter pendant trois heures. Elle s’endormit ensuite, lentement, difficilement, en ayant cette image du garçon en face d’elle, sa tête de méchant, sa tête terrifiante, sa tête là qui lui donnait la nausée. Elle se réveilla après quelques heures et elle vit le préservatif au pied du lit. Elle alla vomir, elle se dégoûtait elle-même. Ce n’était pas de sa faute – quoique si, elle se culpabilisait en se disant qu’elle n’aurait jamais du boire ainsi – mais elle n’arrivait même pas à regarder dans le miroir en face des toilettes. Elle pleura encore un coup et rentra chez elle, le visage défiguré par son maquillage dégoulinant de partout. Et elle versa toutes les larmes de son corps dans les bras de son père. Il n’avait pas compris et elle ne lui en dit rien, tout en s’enfermant dans sa chambre pendant une éternité. Elle s’isolait comme auparavant, jouant de la guitare ou du piano, tout en chantant, et elle se mit en plus de ça à composer, poser ses mots sur des petites feuilles. Tout ça sans son père. Elle était seule, ne travaillait plus. Pourtant, elle réussit à avoir son bac littéraire et s’enferma après ça, tout le temps dans sa chambre, ne sortant plus des vacances. Il lui arrivait de le voir passer devant chez elle, car oui elle observait juste les gens de chez elle. Et rien que voir sa face de rater, ça lui faisait mal. Alors elle est enfin sortie de sa chambre, est allée voir son père, enfin.

« Papa, tu peux me faire plaisir, me rendre un unique service ? »
« Oui ma puce, dis moi »
« Je veux partir, n’importe où, mais une ville un peu paumée où il n'y a rien autour »
« Mais pourquoi ? On est bien ici. »
« Non, tu peux rester là toi. Je vais avoir 19 ans, je veux m’inscrire dans une université, mais pas en Allemagne »
« Mon cœur… je te laisserais pas y aller toute seule, tu sais bien. Tu veux aller où en fait ? »
« Je pensais à Hawaï. »
« Hawaï ? Faut que je vois avec mon directeur. Puis, ça pourrait être une bonne idée. J’ai une bonne somme d’argent maintenant, alors autant la dépenser pour le plaisir de ma fille ».

Elle pensait que tout irait mieux une fois là-bas, mais elle s’était trompée. Elle oublie peu à peu, mais rien ne va mieux, loin de là. Son père est professeur de musique dans l’université, alors elle commence petit à petit à se reconstruire, mais ce n’est pas dit qu’un jour elle arrivera à vivre. Elle a commencé à se mutiler, et s’enfonce une lame de rasoir dans la peau pratiquement tous les jours. Si son père le remarque, il risque de ne pas être ravi et de l’envoyer chez un psychologue, ce qui ne serait bien pour elle d’un côté.

“ INFOS

Âge:
19 ans
Date de naissance:
20 Novembre 1991
Orientation:
Bisexuelle à tendance homosexuelle.
Situation amoureuse:
Célibataire mais rêve d'une belle histoire d'amour.
Pays&ville d'origine:
Née à Berlin et Allemande.
Groupe:
Shut up and let me go
Avatar:
La sublime Dakota Blue Richards.

“ VOUS SELON EUX

Amelia ; la fille la plus sexy de l'université • Cette fille je la comprendrais jamais. Elle est toujours seule, je crois bien que je ne l'ai jamais aperçue avec une personne, il me semble qu'elle n'a aucun ami. En même temps, quand on regarde son style et sa bouille, qui aimerait franchement être ne serait-ce que pote avec une fille pareille ? Enfin, regardez la bien, on pourrait même croire que c'est un garçon. Pas de touche de féminité ! Vraiment, il n'y a rien de bon chez elle, au pire je lui achèterais une corde, parce que son cas devient assez grave. Avec mes copines, on se fout bien d'elle et faut dire que c'est carrément amusant. Elle se laisse faire, je crois qu'elle a peur de nous en fait. Elle ne bouge jamais, ne répond jamais, ne parle jamais, ne conteste jamais, n'affronte jamais nos regards, ne s'énerve jamais. Je ne la comprends pas du tout.

Josh ; le garçon invisible de l'université • Je suis certes le garçon que personne ne connaît. Quoi, vous ne me croyez pas ? Allez demandez à n'importe quel étudiant s'il connaît un certain Josh Levitt, vous comprendrez rapidement qu'ici, aucun ne se doute de mon existence. Seulement, j'ai beau être invisible, j'observe. De mon côté, je sais ce qu'il y a au fond de toutes les personnes et les calcule très bien. Pour ce qui est de Franceska, j'ai très vite compris qu'elle était différente, dès que je l'ai aperçue. Avec son style particulier en même temps, c'était dur de dire le contraire. Cela dit, je sais qu'il y a quelque chose derrière elle, qui la bloque désormais. Elle refuse tout contact, même si ce n'est que pour de l'amitié. J'ai déjà essayé de l'approcher, mais elle m'a repoussée. Elle ne souhaite pas avoir d'amis, c'est assez clair. Elle désire être seule, et même s'il y a des moments je la vois avec un groupe d'amis, elle ne rigole ou ne sourie jamais. Quelque chose la tracasse au plus profond d'elle, d'ailleurs je l'ai déjà vue en train de pleurer, et ça, plusieurs fois. Ça doit être quelqu'un de sensible, mais aussi introverti, car dans ces cas-là, elle se cache. Elle doit avoir honte de quelque chose faisant parti de son passé, mais je ne sais pas quoi. Avant, elle a du être quelqu'un d'autre, j'en suis pratiquement certain.

Oliver ; le voisin de classe de Franceska • Je n'ai jamais pris le temps de discuter avec elle, je faisais comme tous les autres, je l'insultais. Jusqu'au jour où elle a sans faire attention remonté sa manche de gilet. Il faisait chaud ce jour-là. J'ai fixé son bras et j'ai essayé de compter le nombre de cicatrices, il y en avait tellement... Elle s'était sans aucun doute scarifiée. Je lui ai demandé ce qui n'y allait pas, mais elle m'a répliqué : "Ca fait cinq mois que tu te fous sans cesse de moi, tu fais le pauvre mouton et réagis comme tout le monde, trop incapable de te créer une propre personnalité. Alors explique moi pourquoi je devrais te parler, là tout de suite ?". Au moins, elle avait une bonne répartie et elle était claire et nette. Elle allait mal et c'était sûr qu'elle préférait résoudre ses problèmes seule, si seulement c'était possible...

Tom ; le garçon le plus intelligent de l'université • Franceska m'agace, mais pas pour les mêmes raisons que les autres. Je m'en fiche de ce qu'elle est ou de ce qu'elle porte, je ne prête pas attention à ça. Cette fille est dans ma classe et il faut dire qu'elle est ma plus grande concurrente dans n'importe quelle matière. J'ai l'impression que par moments, elle va me battre. Cette demoiselle... il faut que je l'avoue, est plus qu'intelligente, voire surdouée. Elle a une culture générale à vous en couper le souffle, à croire qu'elle a lu un bon nombre de livres quand elle était gamine. Elle est très mature, mûre et a une vision différente de celle que peuvent avoir les gens. Elle a saisi que le monde n'était pas si beau, peut-être pour ça qu'elle est constamment déprimée. Oui parce que ça se voit, elle est en dépression, mais personne ne l'a remarqué apparemment. Elle veut en finir, suffit de contempler son visage rien qu'un peu. Un peu suicidaire, pourtant elle continue sans relâche à bosser, encore et encore. Je ne sais pas ce qu'elle veut devenir, ce qu'elle veut faire, où elle compte aller. Personne ne la comprend, je crois.

Georges ; le père de Franceska • Ma petite fille... je l'ai longtemps détestée. Je n'en reviens d'avoir pu repousser de la sorte. Je n'ai pas vraiment d'excuses, si ce n'est que la faute revient plutôt à ma femme, je n'en dirais pas plus là dessus. Franceska est mon rayon de soleil. Elle me raconte parfois ses soucis, pas toujours, tout en jouant de la musique ensemble. C'est une vraie déesse à la guitare ainsi qu'au piano, écoutez la. Lorsqu'elle me disait que tout le monde l'insultait au collège, j'avais du mal à le croire. Mon enfant, pas aimée de ses camarades ? Pour moi, elle était la fille la plus merveilleuse, peut-être parce que c'était ma fille en effet. Elle était toujours souriante, toujours en train de rire à mes blagues qu'elles soient nulles ou non, je crois bien qu'à cette époque elle était vraiment heureuse. Je ne sais pas si c'est sa solitude en journée qui l'a bouffée de l'intérieur, mais elle s'est ensuite métamorphosée vers sa première, jusqu'à ne plus jouer de musique. C'est sa passion et pour rien au monde elle n'aurait arrêté, c'est ce qu'elle m'avait clairement déclaré. Je ne saisissais pas et je ne comprends en fait toujours pas. Franceska s'enferme dès qu'elle rentre des cours dans sa chambre, par moments je l'entends pleurer alors je viens la voir. Mais elle ne m'explique plus rien, ne veut pas en parler, ou alors elle finit par me sentir une vieille excuse. J'ai toujours su qu'elle était sensible, mais pas de cette manière là. Je sais que quelque chose ne va pas, je ne sais pas quoi, je ne sais pas ce qu'il faut faire, je suis moi-même perdu.

Marissa ; la mère de Franceska • Franceska ? Vous parlez de ma fille ? Oh, je ne l'ai pas revenue depuis au moins quatre ans. Je ne l'aime pas, je ne la considère pas comme mon enfant.

“ VOUS DERRIÈRE L'ÉCRAN

Pseudo: Meuh
Âge: 15 ans
Avatar: Dakota Blue Richards.

Double compte?: (si oui, qui?) Nop, pas encore en tout cas.
Fréquence de connexion: 7/7
PI ou Scénario?: Personnage inventé.
Un dernier commentaire?: Votre forum est magnifique. Ah, et je vous aime beaucoup beaucoup. I adore You

Dernière édition par Franceska A. Schwarzmann le Ven 22 Avr - 17:02, édité 27 fois

BIENVENUE ! En plus, je suis devenue une fan inconditionnelle de Dakota Heart

Je change ton nom de suite et si tu as des questions, n'hésite pas (a)

Invité **Invité**

Bieenvenuuuue I adore You

Voilà, ton nom est à présent changé Superhero

Invité **Invité**

Welcome (:

Callie M. Walker a écrit:: BIENVENUE ! En plus, je suis devenue une fan inconditionnelle de Dakota
Je change ton nom de suite et si tu as des questions, n'hésite pas (a)

Regarderais-tu Skins toi ? Free Hugs

En tout cas si tu l'aimes, je t'aime déjà ! Et je suis rassurée de ne pas être la seule à l'apprécier. I adore You

Merci pour la nom. (:

Ophrah merci bien.
Landon aussi, et yeeeeah ton avatar. *--*

Oui, je regarde Skins. Les 5 saisons de la version Anglaise et la saison 1 de la version américaine ^^
J'suis une accro inconditionnelle Very Happy

Même si, pour ma part, je joue plus facilement avec Kaya Scodelario Wink

Je regarde pas la version Américaine, car j'ai du mal avec les séries américaines de toute manière. :P
Enfin j'ai regardé le premier épisode mais c'était le même épisode qu'avec Tony, WTF ?
Franky et Rich sont mes personnages favoris de la saison 5 *-*. Et Effy de la saison 3 et 4. D'ailleurs j'ai hésité à la jouer sur ce forum, puis en fait non ahah. Enfin je l'ai également déjà joué, mais elle n'allait pas avec l'idée que je me faisais du personnage.

Person dans la saison 5, j'suis une fan de Franky, Alo & Matty Heart

Dans la 3 et 4, Effy et Freddie, évidemment puis j'adore Cook aussi Very Happy

Puis dans la 1 et 2, c'est Chris In love

Il est tellement AMAZING Very Happy

BREF ! C'est un plaisir d'acceuillir une fan de Skins Very Happy

De toute manière, Skins, les personnages sont tous touchants et attachants. Y'en a jamais un que je déteste ou que j'aime pas trop. Je leur trouve tous quelque chose de bon, mais y'en a que je préfère par rapport à d'autres. Ah oui, Matty aussi. *--* j'ai du mal à le cerner celui-là, mais je le kiffe. Saison 1 et 2, c'est Chris pour moi aussi héhé pis Maxxie. Heart

C'est un plaisir d'avoir une administratrice fan de Skins. I adore You

Meuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.

ALORS là, c'est .. Comment dire... lfuahfliaudsfulyguydsgfadfyugfyuadsgf .
Koko & Chacha & MEUH . I adore You

JOIE.

Biennnnnvenuuuuueeeeeeeeeeeeeee,
& un liendelamortquitue obligééééé . =D

C'EST CASEEEEEY QUI ME PARLE ? OUI C'EST LUI ! QUI D'AUTRE ! *--*
Je devais vous rejoindre, c'était même une obligation. Peux pas vous quitter vous trois. Superhero

Et OUIIIIII MEGA LIEN OBLIGE ! Pas possible autrement ! J'ai déjà une idée ahaha, mais je te la dirais en temps voulu. In love

Invité **Invité**

Bienvenuuuuuuuuuuue (a)

Invité **Invité**

OPALINE ; HAAAAN TON AVATAR ! Très bon choix *---*

LAWRENCE ; CHAAAACHA. J'aime pas Robert mais qu'est-ce qu'il est canon sur cet avatar Rolling Eyes

Merci beaucoup et ravie qu'on soit tous réunis là. Very Happy

Trop adorable ton gif In love

Bienvenue (:

Celui en mode drogué ou avec le rouge à lèvre. Je suppose que c'est le premier qu'on voit.
Merci bien en tout cas. Sweet Heart

Franceska A. Schwarzmann a écrit:: C'EST CASEEEEEY QUI ME PARLE ? OUI C'EST LUI ! QUI D'AUTRE ! *--*
Je devais vous rejoindre, c'était même une obligation. Peux pas vous quitter vous trois.
Et OUIIIIII MEGA LIEN OBLIGE ! Pas possible autrement ! J'ai déjà une idée ahaha, mais je te la dirais en temps voulu.

Héhéé, c'est bien moi. (a)
Ohhh mannn , tu m'intrigues avec ton idée de lien héhé. (:

Ahaha, j'ai envie de dire que tu vas devoir patienter ahaha. Twisted Evil

tutuu c'est pas bien ça. (a)

La limite de temps est passé. Est-c'que tu veux un délais pour terminer ta fiche ? ♥

Haaan oui j'avais carrément zappé la limite. Rolling Eyes

Oh oui, je veux surtout pas être supprimée. Je la continue cette après-midi, j'aurais du temps. (:
Un délai de combien de temps ?

:P Pour le temps.... Hum. Je ne donnerai pas de limite, mais le plus rapidement possible si c'est possible. (:
* Je te supprimerai pas de toute façon héhé *

Là je suis pas du tout motivée j'avoue, enfin plutôt inspirée.
Ce soir ça devrait être bon, promis je la fais le plus vite possible.
Héhé j'espère bien. De toute manière, je me réinscrirais tout le temps donc bon, ça revient au même. :p

Invité **Invité**

Toi et tes phrases qui proviennent des chansons de Saez. :yayy:

BIENVENUUUUEEE AVEC NOUS MON GROS NOUNOURS D'AMOUUUUUUUUUUUR! I adore You

Héhé, réserve-moi un lien de la mort qui tue. Bave

C'est genre trop plus fort que moi, je peux pas faire autrement héhé. Pis Saez quoi. Sweet Heart

MERCIIIIII MA GROSSE POMMMMMMMMMMMMME D'AMOUR. So happy

C'était genre impossible du contraire. J'ai encore un personnage chelou par contre. Like a star

**Contenu sponsorisé**

» Callie ♥ ▬ 1,2,3,4 Tell Me That You Love Me More (8) -ADMIN
» SKJ ❤ this is good times. - ADMIN.

Franceska « Usé par les hommes, usé par la vie, usé d'être incompris. » -ADMIN.

Franceska « Usé par les hommes, usé par la vie, usé d'être incompris. » -ADMIN.

Sujets similaires

Sujets similaires