Kalei Lani Winter - Life is a Work of Art ♪

KALEI LANI WINTER ”

« You gotta take the good with the bad, smile with the sad, love what you got, and remember what you had. »

“ HISTOIRE

Hawaii, j’y suis née, mais je n’y ait pas grandi. J’aurais bien aimé, car j’adore cette île, et je m’y sens vraiment chez moi. Ma mère est originaire de là-bas, mais elle a quitté son île par amour pour mon père, peu après ma naissance, et nous avons donc déménagé pour la Californie. Je porte les traces de ces origines dans mes deux prénoms, Kalei, qui veut dire « qui travaille pour le roi » en Hawaien, et Lani, qui signifie « Ciel céleste ».Fille unique, j’avais droit à toutes les attentions de mes parents, j’étais leur petit ange comme ils disaient, bien que je n’ai jamais vraiment été ce qu’on peut qualifier d’ange. Dès toute petite, j’avais déjà un sacré caractère, et aimait faire tourner mes parents en bourrique.
Dès mon plus jeune âge, je me suis passionnée pour la musique, la danse, et la photographie. Et je me révélait plutôt douée dans ces trois domaines. J’ai gardé ces passions au fil des années et pratique toujours ces trois activités, n’ayant jamais voulu choisir entre les trois, et n’ayant en plus jamais eu à la faire.

J’ai grandi dans une famille qui n’avait pas vraiment de problèmes financiers. Ma mère possédait son propre restaurant, et mon père était un avocat réputé dans toute la Californie. Je n’ai donc jamais manqué de rien, ce qui ne fait pourtant pas de moi une fille gâtée-pourrie, loin de là. Je peux rapidement devenir une vraie garce si on commence à me chercher. Je sais être très mauvaise croyez moi, et c’est pourquoi même si j‘avais un nombre respectable d’amis, j’avais aussi pas mal d’ennemis. Mais j’avais aussi un meilleur ami, un vrai, que j’adorais. Maxim, lui, au contraire de moi, n‘était pas forcément très apprécié et pas mal de ses soi-disant amis lui ont tourné le dos. Mais moi pas. J’ai toujours été là pour lui quand il en avait besoin, même si parfois je devais lui tirer les vers du nez pour lui faire avouer ce qui n’allait pas.

Mon adolescence s’est déroulée normalement, je commençais à m’intéresser sérieusement aux garçon et en eu quelques uns, j’ai eu mon premier baiser, mon premier verre d’alcool. Mais je n’ai pas touché à la drogue ni à la cigarette : j’avais bien trop peur d’abimer ma voix, et que serait une chanteuse sans sa voix ? Mais sorti de ça, rien ne me faisait peut, j’essayais tout sans aucun problèmes.

Mais quand j’eu 14 ans, un évènement vint perturber ma petite vie bien tranquille : mes parents, qui avaient commencé à se disputer depuis quelques mois déjà, décidèrent de divorcer. Jusqu’à ce jour, ils avaient été le couple idéal pour moi, et là tout volait en éclat sous mes yeux. Je m’en étais sentie coupable, comme beaucoup d’enfants dans ma situation je suppose. Qu’avais-je fais pour qu’il divorcent ? Que n’avais-je pas fais , Était-ce à cause de mes sorties en soirée à répétition ? De mes ennuis à l’école pour quelques bêtises que j’avais jugé sans importance ? Mon sale caractère ? Le fait que je les ait envoyé paître quelques jours plus tôt parce qu’ils ne voulaient pas que j’aille à cette super soirée où tout le monde allait se rendre ?

Ma mère quitta la Californie et rentra à Hawaii, chez elle. Elle avait voulu que je la suive mais je ne voulais pas quitter ma vie en Californie. A partir de ce moment, je passais donc mes vacances à Hawaii, du moins en partie, et ma mère tachait de me rendre visite de temps en temps. Et pour ne pas penser à tout ça, j’avais décidé d’aller faire du bénévolat à l’hôpital, pour jouer avec des enfants malades, et leur jouer un peu de musique. C’était ma manière à moi de ne pas craquer, voir que sur terre, il y avait des enfants qui vivaient des choses bien plus difficiles que moi et ne baissaient pourtant pas les bras. Leur courage était vraiment impressionnant à mes yeux, et ce sont eux qui m’ont aidée à ne pas me laisser abattre après le divorce de mes parents.

Ma vie se résumait donc par les cours (j’étais plutôt bonne en cours, mais pas non plus excellente), mes visites hebdomadaires à l’hôpital, et les soirées. Bien arrosée le plus souvent bine que comme vous le savez, l’alcool n’est autorisé qu’à partir de 21 ans aux Etats Unis. D’ailleurs, l’alcool avait le don particulier de me dévergonder. Je n’étais déjà pas du genre coincée lorsque j’étais sobre - un peu grande gueule même - mais l’alcool m’ôtait littéralement toute gêne. Et lorsque j’étais bourrée, on pouvait d’ailleurs se poser des questions sur mon orientation sexuelle… Mais dans mon état normal, je ne suis pas attirée par les filles, ou en tout cas pas autant que par les garçons. Il y a peut être une partie de moi un peu bi, allez savoir. Toujours est-il que mes relations officielles ont toujours été avec des garçons.

Et la plus sérieuse de toutes fut avec Maxim. Oui, le « mon meilleure ami » Maxim. Notre relation avait peu à peu évolué de l’amour vers l’amitié, lorsque j’avais 17 ans. Nous sommes restés 9 mois ensemble, et - hormis quand il était bourré et que nous finissions par nous disputer - il était génial. Attentionné, tendre, câlin… Seulement il buvait et se droguait. Et dans ces cas là, nous passions notre temps à nous disputer. Bien sur, je buvais aussi, mais en soirée, pas en dehors. Quand à son addiction à la drogue, je ne comprenais pas comment il pouvait se détruire comme ça. Pourquoi il pouvait se détruire comme ça.

Mais un jour, tout à basculé pour moi. Retard de règles, nausées… Un test de grossesse et un rendez vous chez le médecin ont confirmé mes soupçons : j’étais enceinte. Et Maxim est resté introuvable, comme ça lui arrivait parfois, pendant 2 semaines après que je l’ai appris. Je ne l’ai revu qu’un soir à une soirée, et lui ait demandé de venir me voir parce qu’il fallait que je lui parle et que c’était important. Tout ce que j’ai obtenu c’est une dispute et une rupture, et après avoir passé le chemin du retour chez moi, et la nuit à pleurer, j’ai pris un rendez vous et me suit fait avorter deux jours plus tard. Entre temps, j’ai organisé mon départ pour Hawaii. Encore deux jours et j’étais partie. Sans dire au revoir, et sans prévoir personne.

Tuer cet enfant a vraiment été difficile pour moi, mais je ne me voyait pas avoir un enfant si jeune, et encore moins seule. Il m’a fallu un moment pour me débarrasser de la culpabilité que je ressentais, et quitter la Californie pour Hawaii m’y a bien aidée. J’ai essayé d’oublier, de passer à autre chose, et de recommencer une nouvelle vie. Une sans Maxim, alors que pendant toutes ces années, même lorsque nous n’étions qu’amis, je n’avais pas été capable de me passer de lui. Une sans mon père, qui avait accepté sans broncher de me laisser partir bien que j’ai vu des larmes briller dans ses yeux avant de m’éloigner pour monter dans l’avion en direction d’Honolulu.

J’y vis encore aujourd’hui. Et je m’y sens chez moi, même si tous les tracas de mon passé n’ont pas entièrement disparu. Je pense toujours à ce garçon, à ce bébé tué dans l‘oeuf, à ma culpabilité, à cette ville où j’ai grandi, à mon père que je n’ai pas revu depuis mon départ de Californie… Ces choses font partie de moi, et jamais elles ne s’effaceront… .

“ INFOS

Âge:
18 ans
Date de naissance:
20 Aout 1992
Orientation:
Hétéro... Sauf quand elle a un peu trop d'alcool dans le sang, dans ces cas là elle aime tout le monde
Situation amoureuse:
Célibataire
Pays&ville d'origine:
Newport Beach, CA, USA
Groupe:
Shut up and let me go
Avatar:
Demi Lovato

“ VOUS SELON EUX

MAXIM D. WALKER ♦ MEILLEUR AMI ET EX ;; « Kalei est… C’est une fille en or, elle est absolument géniale. Quoi qu’il arrive, quoi qu’il se passe elle a toujours était présente pour moi, et pour ses amis. Elle a toujours essayer de m’aider, de savoir ce qu’il n’allait pas. A nous deux on est vraiment, vraiment très têtus il faut l’avouer. Mais Kalei n’a jamais été du genre a se laisser marcher sur les pieds, il ne faut pas la chercher sinon on risque de le regretter. C’est une amie fidèle, très fidèle c’est d’ailleurs la seule qu’il me restais avant son départ. Jamais un instant, même si s’agissait comme un véritable con, elle ne m’aurait lâcher. Mais nos chemins ont malheureusement fini par se séparer. Cette fille pleine de joie de vivre et de… Conneries me manque… »

ALANI WINTER ♦ MOM ;; « Kalei est une fille avec un fort caractère. Mais elle a aussi un grand cœur. Elle se lance toujours à fond dans tout ce qu‘elle entreprend, et n‘a pas peur de devoir se battre pour réussir. Je pense qu’elle devrait essayer de se lier davantage aux autres. A trop se protéger, elle a tendance à s’isoler des autres, même si c’est involontaire. Elle vaut vraiment la peine d’être connue, et elle est vraiment talentueuse, pourvu qu’elle aime ce qu’elle fait. Je suis fière d’elle, vraiment. Et j’ai de quoi l’être. »

“ VOUS DERRIÈRE L'ÉCRAN

Pseudo: Kaylight
Âge: 19 ans
Avatar: Demetria Devonne Lovato
Double compte?: (si oui, qui?) Aucun
Fréquence de connexion: 4/7 (je suis présente souvent mais ne poste pas toujours)
PI ou Scénario?: PI
Un dernier commentaire?: ALOHA !

Dernière édition par Kalei L. Winter le Sam 2 Avr - 2:20, édité 3 fois