« La différence cache les gens et pourtant nous le sommes tous »
“ HISTOIRE
CHAPITRE 1
«Non je ne veux pas jouer à la poupée Ophrah !»«Mais moi si Sally ! » MAMAN ! Ophrah à encore recommencer à parler toute seule !. «Mais nan je parle avec Sally !» «Qui ? Mais je ne vois personne moi bon sang O' !»
Ce n'est pas la première fois que Reese voyait sa petite soeur parler toute seul dans sa chambre avec ses poupées. Parfois c'était les balançoires dans l'herbe elle riait toute seule. Elle commençait à croire que Ophrah était complètement folle . Ophrah voyait depuis toute jeune une petite fille qui grandissait lentement avec elle. Sally qu'elle disait. Personne d'autre qu'elle ne la voyait. Tous la prenait pour une folle.Les parents de Ophrah n’ont jamais penser folle ou qu’elle atteinte d’une maladie folle et ne voulait pas consulter un médecin ou quoi que se soit pour nuir à leur jeune fille ils l,ont toujours considérer comme une petite fille normal. Mais les autres enfants du quartier ne voulait pas jouer avec O'. Dérangée ils disaient tous. Cette amie n'a jamais sembler vouloir disparaître elle partageait tout avec elle , même parfois son repas. Polly sa gouvernante par contre n'était pas du tout d'accord avec le fait de rien faire. La petite blondinette n'était pas normal elle n'avait cesser de le répéter . Polly la surprenait souvent à vouloir partager même son repas avec elle. Sa mère Pearl avait une image à préserver dans le quartier ou il vivait et sa fille semblait bien se comporter elle n'avait pas du tout envie de la faire consulter et que bien des rumeurs commencent à circuler d'oreille en oreille. Quand à son père Abraham qui ne voyait que très rarement ses deux filles entre ses heures surchargée de travail il n'avait pas envie de brusquer son enfance et préférais passer du temps avec elle le plus possible au moment de ces temps libre. Il adorait lui enseigner la guitare et la piano en l'assoyant sur ses genoux pendant des heures de temps. L'éducation devenait une chose très importante pour sa mère et elle tenait particulièrement que leur étude se fasse à la maison. Polly sa gouvernante devenait donc une personne très importante dans la fille. Elle était comme un peu sa deuxième mère. Enfin cette amie imaginaire n'a jamais sembler vouloir disparaître si bien que encore à ses seize ans elle la poursuivait partout. Maintenant cette ombre lui pourrissait la vie . Cela ne fonctionnait plus comme la chère amie quand on a six ans quand on parler seule avec dix ans de plus ont est rapidement pointer du doigt et juger trop vite. La seule solution que Ophrah voit à ça c'est de réfugier seule dans sa chambre sur son toit pour regarder les étoiles ou simplement lire un bon livre dans un recoin de l'école.
CHAPITRE 2
La pluie tombait à grosse gouttes dans le parc sous le chêne au milieu des étoiles dans une nuit garnie d'une douce rosée fraîche sur l'herbe. Les deux amoureux se pressaient l'un contre l'autre pour leur dernier au-revoir. Un été.. sous le soleil et plus souvent la pluie à Londres avait suffi pour faire naître une grand amour. Olivia serraient le manteau de Will si fort que ses jointures devenaient blanche et la circulation ne se faisait presque plus sentir. Ses larmes ruisselaient à flot sur ses joues de porcelaine. «Tu me promets de revenir...». Will prit lentement le visage de son aimée entre ses mains. Sa belle anglaise qu'il devait maintenant se séparer pour retourner aux États-Unies. «Promit je reviendrai au prochain été. Je penserais à toi toute l'année et je vais t'écrire tout les semaines». Ce sentiment si anodin si innocent avait relié deux adolescent de dix-huit ans pour ces belle journée au soleil. Comment se faisait-il ? Le cœur de Olivia n'avait jamais battu comme ça pour un homme sans était tout simplement incroyable et irréaliste. Et maintenant il devait se laisser là au point de leur rencontre de leur premier mot de la belle façon que Oli l'avait envoyer balader lors de leur rencontre. Son cœur avait été conquis par cette belle fille la tête dans les nuages au coeur des plus tendre .
«C'est aujourd'hui !». Ophrah dansait dans la cuisine en préparant ses crêpes tout en tournoyant autour de sa soeur qui commençait à la trouver. Reese finit par la prendre par les épaules et l'immobilisa. «Ça va on a comprit Will revient». Mais O' n'arrivait pas à rester calme elle avait dû attendre une année complète pour le revoir. Les lettres ne suffisaient plus elle devait le prendre dans ses bras l'embrasser sentir son parfum. L'été était belle et bien commencer seulement le soleil n'était as sortie de nouveau sauf que je peux vous dire que cela n'a jamais affecté le moral des deux sœurs. Les merveilleuse crêpes à la vanille furent déposer dans l'assiette et mit sur la table. «C'est pas trop tôt. Avec toute ton enthousiasme ça fait une heure que j'attends mes crêpes pour le petit-déjeuner.». Même les remarques de sa grande sœur ne lui avait pas fait retirer le moindre sourire. Reese en était presque découragé , mais il semblerait que pour une fois ce que O' avait toujours refuser de croire lui avait tomber dessus. L'amour..
La nuit était tombé et la jeune femme tremblait comme une feuille devant son téléphone dans son lit. Will n'était pas arriver... Deux heures d'attente interminable. Ophrah refusait de croire que son beau grand brun ne semblait pas se pointer. Son sourire était bien disparu de ses lèvres vermeilles. Mais lorsque le DRING retentit elle sauta directement sur l’appareille , mais ce n'était pas une des voix qu'elle espérait entendre. «Est-ce que je parle à Ophrah Ivanov ?».
Le calme ne semblait pas revenir à l'intérieur de la brunette. Elle tapait du pied et ses larmes commençaient à couler de panique et d’inquiétude sans fin qui naissait en elle. L'hôpital l'endroit qu'elle déteste le plus. On l'avait appeler , Will et son ami qui était en route vers sa maison en sortant de l’aéroport avait eu un accident de voiture avec l'orage qui s'animait dehors. Pas étonnant la vision à l'extérieur en était pratiquement impossible. Les secondes passaient lentement et de plus en plus Ophrah pleurait jamais elle ne semblait voir le médecin ou une infirmière apparaître devant elle.«Mademoiselle Ivanov ?». La jeune femme releva la tête en essuyant les gouttes salées d'un revers de main sur ses joues. «Alors ?».«L'ami de Will , Sidney, va bien il n'a que quelque blessure mineures quand à Will il est plonger dans un profond coma.». Ophrah s'était retenu pour ne pas crier et son souffle lui coupa. Son cœur semblait avoir cesser de battre à un moment et sa main attrapa le premier coin de mur ou elle se laissa glisser en sanglotant.
Jour d'hiver..
Ophrah pénétra dans la chambre de Will ou il ne s'était toujours pas réveiller. Elle s'assoya à cotée de lui sur une chaise en le regardant. «Reese m'a lancer sa première boule de neige. C'est l'hiver sur Londres.. Je sais que toi tu as toujours rêver de voir notre belle ville sous ce jolie manteau blanc. La neige pour moi n'a jamais été aussi froide et sans vie à te voir ainsi étendu. Et puis bientôt se serra Noel , je suis encore craintive de passer cette fête dans ma grande famille. Je suis sûr que tout aurais été moins pénible avec toi. Encore je serais surveiller pour voir si je suis assise correctement. Je n'ose même pas imaginer si ma grand-mère trouve un simple plie dans ma robe. Je ne sais même pas si tu peux m'entendre les médecins dise que oui , mais moi je n'ai pas cette fois que c'est vrais. Je n'avais pas envie de t'apporter des fleurs comme tout le monde fait , car de toute façon tu ne peux même pas les voir. J'ai apporté par contre ma guitare. Pour jouer comme tu aimais. Chanter comme la première fois dans ma cour.». Elle prit dans un tremblement l'instrument et lui joua pratiquement toute la journée à ses cotée en lui chantant de jolies ballades.
Jour de printemps...
«Jour de printemps.. Les premiers bourgeons les premières fleurs qui poussent. Comme se jolie bouquet que tu m'avais offert. Je n'ai pas tenu ma promesse je tes apporté des fleurs. Je me disais que ça te ferais une meilleure ambiance. En plus elle elles sont bien fraîche. Je les cueilli dans le jardin de ma cour arrière. Quand Polly apprendra ça je ne serais pas mieux que morte , mais tu es sans doute bien plus important que la colère de ma gouvernante. Pour une fois il fait soleil. Je me demande si tu peux les sentir parfois les rayons chaud qui arrivent à transpercer ses rideaux. Pour moi ils ne sont pas chaud il me transperce de façon douloureuse. Je suis retourner au chêne ce matin. Je me suis assoupie et j'ai pu presque sentir ton parfum et ta main dans mes cheveux lorsque tu me disais des mots doux à l'oreille. Si tu savais comme je n'aurais jamais voulu quitter ce rêve si réel. Je ne peux que espérer maintenant que tu réveille.»
Jour d'été... «Ça y est. L'été à pointer le beau de son nez. Je crois que tu le sais déjà , mais la pluie tombe encore une fois de plus. Ce n'est pas surprenant. On c'est rencontrer sous la pluie et on s'est quitter sous la pluie l'été précédent. Sans toi je ne sais plus ou je m’en vais. Que même si je retourne à ce parc et je me couche dans l'herbe , ta présence ne me vient plus. Les nuages forment on dirait aussi la plus grande tristesse. Le soleil quand il est là il ne m'apporte même plus la joie d'avant. Le mois de Juillet rime maintenant à larme et tristesse. L'amour je ne voulais pas y croire. je comprends maintenant cela fait si mal. J'attends que tu te réveille , mais cela ne vient pas. j'espère , mais j'ai peur que tes yeux ne s'ouvrent jamais.»
Jour d'automne...
«Je ne peux pas croire que je dois te dire Adieu Will. Tes parents ont enfin le courage de te débrancher. Comment ils y arrivent tu es leur fils. Ils n'ont plus le courage de t'attendre , mais moi je pourrais t'attendre toute ma vie si il le faut. Je ne me vois plus continuer sans toi.». Les larmes redoublaient sur son visage meurtri par la tristesse. Un dernier au revoir un dernier je t'aime. Elle avait l'impression que son âme se déchirait en deux. Premier amour..bien plus que ça. Elle n'avait jamais pu expliquer la puissance de ce sentiment qui la faisait tant souffrir ces derniers moi. Ses lèvres vinrent se poser une dernière fois pour un baiser parfait mélangée aux gouttes salées. Elle serra sa main très fort déposant son collier entre ses doigts. Son visage semblait parfaitement paisible elle le caressa. «Adieu Will.,». Ophrah disait adieu à une partie d'elle même.
CHAPITRE 3 Dans un gros coup de vent que Ophrah rentra complétement tremper. Elle retira ses chaussure suivit de ses chaussettes. Son manteau et son écharpe finirent aussi sur le sol et dans un trajet de gouttes d'eau elle traîna les pieds jusqu'à sa chambre. Rose pâle presque blanc, ses meubles blancs. Aucune poussières ne se dessinait dans la pièce incroyablement propre. Ophrah Verity eu le malheur de se rencontrer dans le miroir. Ses mèches de couleur blé collaient à ses joues et son maquillage avait couler. Rien de très jolie se faisait voir sur son visage de porcelaine. Sa jupe et son débardeur décolleter de couleur lyla eux étaient intact. Sa chevelure blonde fut remonter en une queue de cheval et elle n'appliqua qu'un léger coup de rouge à lèvre. Sa gouvernante Polly manqua de faire une crise cardiaque. «Ophrah Verity Ivanov ! Si ta mère te vois dans cet état tu ne serais pas mieux que six pieds sous terre.» L’adolescente de dix-sept ans baissa les yeux sur sa tenue et tira sur sa mini-jupe. Le mascara qui avait coulé lui faisait un horrible contour noir autours de ses prunelles tacheter d'or. Polly la poussa sur la chaise de sa coiffeuse. «Je ne sais où tu as trainé toute la nuit , mais tu sens le chien mort.»«Loin de tout ce que vous appelez le monde parfait». Polly posa les mains sur ses hanches et brandit son doigt de vieille dame juste sous son nez. «Compte toi chanceuse de ne pas être dans la rue !». Elle la fit pivoter et retira son maquillage en là poussant dans la douche par la suite. «Tant que tu ne sens pas le savon jusqu'à la cuisine tu ne sors pas de cette douche !» Polly avait perdu le contrôle sur Ophrah depuis quelque temps. Rien n'était plus pareille...
CHAPITRE 4 < «Tu veux partir ?»«Oui ! Je ne veux plus être ici ! Je veux faire le tour du monde avec un simple objet que ma guitare .»«Mais voyons ! Tu ne peux pas partir comme ça . Ru fais une grosse erreur de quitter l'Angleterre ainsi»«Mais c'est mon rêve Polly ne comprend tu pas que être loin d'ici , loin de tout se chic me ferait le plus grand bien. Toi tu n'as donc jamais eu des rêves ?»«Moi je crois que tu as encore la tête dans les nuages.» Non Polly je suis bien sérieuse , je pars demain vers Hawaii , ma première destination pour faire mes études et où je pourrai enfin fuir la pluie.
Cela avait été la dernière conversation entre Ophrah et sa gouvernante. La jeune femme de dix-neuf ans n'arrivait plus à supporter l'ambiance de sa ville natale. La pluie se temps qui lui avait été si merveilleux toute sa vie la rendu tendu et presque énerver lorsque les gouttes se mettaient à tomber. C'était simple cela lui faisait penser à Will. Enfin le lendemain elle sentait déjà les rayons chauds du soleil de l'île sur sa peau.
“ INFOS
Âge: 20 ans Date de naissance: 25 octobre 1991 Orientation: Cela reste encore un mystere Situation amoureuse: Célibataire endurcie Pays&ville d'origine: Angleterre , Manchester Groupe: Shut up and let me go Avatar: Avril Lavigne
“ VOUS SELON EUX
MÈRE - PEARL EVELYN BLUEBERY : «Ah ma petite Ophrah elle ne m'a pas donné du file à retordre depuis sa naissance. Je devais me battre tout les jours avec elle pour qu'elle veule bien enfiler sa robe . Et encore là quand j'y arrivais elle réussissait à trouver une façon de me faire sauter un câble en allant jouer dans l'herbe et la tacher complètement. Je ne pourrais pas dire que c'était un petit monstre , mais c'est plutôt une fille qui peut se comporter comme une gamine et très têtue. Oui elle est une tête forte tout comme moi.»
ABRAHAM ARTHUR IVANOV «Malgré que j'ai manqué une grande partie de L'enfance de ma fille elle reste ma petite princesse. Par contre je n'ai jamais réussis à la comprendre ce qu'elle voyait ce qui passait dans sa tête. Je n'ai jamais juger qu'elle était asser folle pour aller voir un médecin en particulier. La seule chose qui me rapprochait d'elle c'était au moment que je sortais ma guitare entre mon travail et mes livres. Ophrah s'assoyait devant moi en m'écoutant jouer pendant des heures et me sautait presque sur les genoux pour que je lui raconte une histoire. C'est une fille bien curieuse , mais très discrète.»
POLLY VICTORIA GRIFFIN - GOUVERNANTE , TUTRICE DEUXIÈME MÈRE «Je connais cette petite comme si je l'avais conçu. Comme je lui faisais l'école à la maison je les souvent surpris avoir la tête dans les nuages dans ces rêveries. Souvent dans sa bulle elle se fâchait après moi lorsque je la dérangeais dans ses pensées. Elle préférait passer son temps avec moi plutôt qu'avec les autres enfants du quartier. Oui elle est solitaire et très renfermer. Je suis très contente de lui avoir fait son éducation puisque que j'ai pu découvrir la jeune fille poétique très artistique qui mérite de se faire entendre.»
COLLÈGUE DE CLASSE «Folle je dirais ? . Non sérieusement je la trouve étrange cette fille. Elle parle toute seul et elle a même péter un câble en plein milieu de la court l'autre jour. Elle doit souffrir d'une maladie mental quelconque , car non moi je pense même qu'elle est prête pour l'asile à certain moment. »
ANONYME MASCULIN ] « Cette jeune fille ne manque pas de vocabulaire je vous l'assure. N'essayer pas vos vieille technique de drague ou de lui demander une petite sortie elle vous fermer votre clapet après vous avoir envoyer balader. Je ne comprends pas elle ne semble pas vouloir avoir aucune affinité plus que l'amitié avec un homme ou une femme. Elle est insensible à toute forme de compliment ou de drague je vous l'assure cette fille là ne veux rien savoir , son célibat elle y tient.»
“ VOUS DERRIÈRE L'ÉCRAN
Pseudo: TWEETYFRUITY Âge: Avatar: Avril Lavigne Double compte?: (si oui, qui?) Non (a) Fréquence de connexion: 7/7 PI ou Scénario?: PI Un dernier commentaire?: C'est la danse des canards
Sujet: Ophrah ♣ Everybody hurts someday.. 
Lun 28 Mar - 22:23
