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● DATE D'INSCRIPTION : 25/04/2011
| Sujet: NALANI . « ihavenotitle.ewo » Lun 25 Avr - 6:27 | |
| « La franchise ne consiste pas à dire tout ce que l'on pense mais à penser tout ce que l'on dit. »“ HISTOIRE CHAPTER ONE : Will you marry me ?
« Leilani ? LEILANI ? J’ai une surprise ! Où es-tu ? » Une jeune femme venait d’entrer en trombe dans son appartement, le sourire aux lèvres, à la recherche de l’homme de qui elle était tombée amoureuse. « Dans la salle de bain ! » C’est en rigolant naïvement que la même jeune femme alla rejoindre celui qui venait de lui répondre. Elle avait oublié qu’elle lui avait demandé de repeindre sa salle de bain en vert anis et blanc. Il avait accepté sans rechigner, par amour. « J’ai entendu le mot surprise ? » Ils s’embrassèrent amoureusement, leur sourire ne voulant pas se délocalisé. « Oui, tu as bien entendu. Tu te souviens quand tu m’as demandé si je voulais venir vivre chez toi, à Hawaii ? » Elle s’était assise sur le bord de la baignoire, en faisant bien attention à ne pas tacher son joli pantalon. « Oui, tu m’as dit que tu préférais qu’on reste à New-York, pour ton travail et ta famille. » Il y avait un brin de tristesse dans la voix de Leilani, mais il n’en voulait pas à sa petite amie, Johanna. Il la comprenait, même. « Et bien, figure-toi que… J’ai démissionné ! » Elle avait levé les bras au-dessus de sa tête, toute fière d’elle. « Quoi ? Mais pourquoi ? Es-tu folle ? » Sa fierté baissa d’un cran, elle ne s’attendait pas à cette réaction. « J’ai réfléchis, Leilani. Je veux vivre avec toi, à Hawaii. Je veux rencontrer ta famille, finir ma vie à tes côtés, avoir des enfants avec toi. Et si pour ça, je dois quitter mon travail, alors il n’y a aucun problème ! » Son sourire doubla d’intensité, elle voulait le convaincre grâce à sa jolie dentition et son sourire enjôleur. « Et ta famille ? » La jeune femme haussa les épaules. « Je reviendrais les voir. Allez, me dis pas que tu n’es pas content ! Montre-moi un peu d’enthousiasme ! » Le jeune homme s’approcha de sa bien-aimée et lui fit un simple baiser sur la bouche. « Ma chérie, je suis plus qu’heureux de ce que tu m’annonces mais je dois t’avouer que j’en suis plus que surpris, également. Tu sais, je m’étais fait à l’idée de rester à New-York, avec toi. Tu es sûre de ce que tu fais ? Tu ne vas pas le regretter ? » Johanna, la jeune femme, sauta au cou de son homme en rigolant. « On va à Hawaii, mon chéri ! En fait, tu as repeint la salle de bain pour rien ! »
« Johanna Hailey Fields, veux-tu devenir ma femme ? » Nous retrouvons nos deux jeunes gens, Johanna et Leilani, sur une plage d’Honolulu, capitale d’Hawaii. Cela fait maintenant un an qu’ils se sont installés sur l’île et leur amour n’a fait que s’accroître. « Tu ne me demandes pas ça parce que je suis enceinte, quand même ? » Jeune femme au caractère fort, Johanna posa ses mains sur ses hanches, voulant s’assurer que son bien-aimé ne se sentait pas obligé de l’épouser par sa grossesse. « Bien sûr que non ! Ça fait un bout de temps que j’y pense. Je t’aime sincèrement, enceinte ou non. » Il avait peur. Cherchait-elle des excuses pour refuser ? Trouvait-elle qu’ils étaient trop jeunes pur s’engager ? Après tout, ils n’avaient que 21 ans. « Johanna Hailey Kawena, ça sonne plutôt bien, non ? » Un grand sourire barra son visage. Elle savait que Leilani prendrait du temps à réaliser. « Ça veut dire oui ? » Comme souvent, Johanna sauta dans les bras de son –désormais- fiancé. « Oui, gros bêta ! »
CHAPTER TWO : If we ever meet again
Un beau jour de juin (le premier, précisément) de l’année mille neuf cent quatre-vingt-trois à l’hôpital public d’Honolulu (Hawaii), on pouvait entendre une jeune femme crier, hurler même. Cette jeune américaine prénommée Johanna, d’habitude douillette, n’arrivait pas à supporter la douleur qu’elle ressentait dans son bas-ventre, malgré la péridural. Oui, vous l’aurez bien compris, cette femme est en train d’accoucher. Cette femme, c’est ma mère. Elle ne savait pas à ce moment-là si elle attendait un petit garçon ou une petite fille, mais dans tous les cas, elle savait déjà quel prénom donner. Quelques minutes plus tard, le ton était donné, le tout était fixé. C’était un garçon, un magnifique petit garçon : moi. La sage-femme demanda, avec un large sourire, à mes parents quel prénom ils avaient choisi pour moi. C’est donc sans aucune hésitation qu’ils répondirent en chœur : « Nalani Mikala Kawena ».
« Nalani, mon chéri, tu viens me dire au revoir ? » Ma mère se baissa à ma hauteur et me fis un sourire rassurant. « Non. Pourquoi tu pars ? Tu vas où ? J’ai envie que tu restes avec moi et papa. » Elle souffla, embarrassée. « Petit ange, on en a déjà parlé… Papa et moi on ne s’entend plus et je dois rentrer à New-York, je t’ai déjà expliqué. Mais on se reverra, mon chéri, je reviendrai te voir et tu viendras pour voir ton papi et ta mamie. » Oui, c’est vrai qu’elle m’avait déjà expliqué, mais j’avais six ans, je n’avais rien compris. Je savais bien que mes parents ne s’aimaient plus et que ma mère rentrait à New-York, dans sa ville natale. Je me sentais blessé, vexé. Ma mère, ma génitrice, celle qui m’a porté pendant neuf mois, m’abandonnait. Elle s’en allait à des milliers de kilomètres et je ne la reverrais pas avant un bon moment. « J’ai pas envie que tu partes, maman. Tu veux plus de moi ? T’es plus amoureuse de papa ? » J’avais six ans et ma mère s’en allait loin de moi, j’avais le droit d’être triste, n’est-ce pas ? « J’aimerais toujours ton père, mon petit ange, mais on ne s’aime plus assez pour vivre tous les deux dans la même maison, tu comprends ? Et je t’aimerais encore plus et toute ma vie. Tu es mon petit ange, ne l’oublie jamais. Et je te fais la promesse que l’on se reverra souvent, d’accord ? » Cette femme, ma mère, avait réussi à me rassurer, même si au fond de moi, j’avais du mal à la croire. Mais, avais-je le choix ? Je ne pouvais pas la retenir.
« Papa ? Papa, où est la photo que j’avais dans ma chambre ? Celle où il y a maman, toi et moi ? » En montant dans ma chambre pour faire mes devoirs, j’avais directement remarqué que la photo n’était plus à sa place. « Je l’ai jetée, elle n’est plus d’actualité. Ta mère est partie, elle nous a abandonnés, Nalani ! Quand vas-tu comprendre ? » La première émotion que j’ai ressenti quad je l’ai entendu parler est la colère. Pourquoi disait-il ça ? « Non, c’est pas vrai. Elle m’a promis qu’elle reviendrait me voir. Pourquoi tu dis ça ?! Rends-moi la photo ! » Mon père regarda par-dessus son épaule, comme si je n’avais rien dis d’important. « Trop tard, elle est au fond de la poubelle. Va faire tes devoirs, petit. » J’étais en colère contre mon géniteur. Il n’avait pas le droit de me dire que ma mère m’avait abandonné, surtout que c’était totalement faux. « C’est toi qu’elle a abandonné, pas moi. Elle m’a promis qu’elle m’aimerait toujours, mais toi tu ne m’aimes plus ! Tu t’en fous de moi. » Il se leva rapidement et vint se poster en face de moi. « Ce n’est pas vrai, je t’aime, fils/ » « Alors pourquoi tu t’occupes jamais de moi ? Tu ne fais jamais à manger, c’est la voisine qui m’en donne ! En plus, tu pues. » J’avais huit ans à cette époque-là et je ne savais pas qu’en fait, l’haleine de mon père était imbibée d’alcool. Il avait fait une dépression après le départ de ma mère et s’était plongé dans l’alcool et la drogue. Quelque mois plus tard, la voisine trop inquiète pour moi a décidé d’en parler aux services sociaux. Ils m’ont placé en famille d’accueil pendant quelques semaines, le temps régler tout ce qu’il y avait à régler avant de m’envoyer chez ma mère, à New-York. C’est donc à neuf ans que j’ai quitté mon île natale pour aller sur une terre inconnue auprès de ma mère qui m’avait tant manqué.
CHAPTER THREE : Man down
« MAMAAAN ! » Je courrais dans les bras de ma mère. Voilà trois ans que je ne l’avais pas vue (depuis qu’elle avait quitté Hawaii, en fait). Elle m’avait énormément manqué et j’étais plus qu’heureux de la revoir. C’est triste à dire, mais le fait d’avoir quitté mon père me rassurait, il me délaissait de plus en plus. « Mon petit ange ! Tu vas bien, tu as fait bon voyage ? » Comme d’habitude, elle s’inquiétait pour moi. Ça fait du bien, vous savez, quand quelqu’un tient tellement à vous qu’il s’inquiète pour rien. « Oui. Je suis content de te voir maman. » Je passais mes tout petits bras autour de sa taille et elle rigola. Lorsque nous fûmes dans la voiture, elle engagea la conversation. « Comment va ton père ? » Mon regard se posa au loin, sur le paysage derrière la vitre. « Je veux pas en parler. » Je soufflais, j’étais toujours en colère contre lui. Je n’avais plus l’impression d’être son fils et il m’a abandonné. Comme un lâche. « D’accord. Il faut que je te parle de quelque chose, avant qu’on arrive à la maison… J’ai rencontré un homme et il a déjà un fils qui a un an de plus que toi. Tu vas les voir aujourd’hui. » En regardant ma mère, je remarquais qu’elle était anxieuse, elle avait peur de ma réaction. Pourtant, j’étais content pour elle. J’avais maintenant compris que loin de mon père, on ne pouvait qu’être heureux. Et si pour être heureuse, elle devait reformer une famille, ça ne me posait aucun problème. Tant que j’ai ma place, tout va bien. « C’est vrai ? Tu es amoureuse de lui, maman ? Je vais avoir un demi-frère alors ? Comment ils s’appellent ? » Un sourire vint éclairer son si beau visage et j’étais heureux de savoir que ce sourire était dû à ma réaction. « Oui, je suis amoureuse de Steeve et son fils s’appelle Holden. Peut-être que oui, il deviendra ton frère un jour. Il t’attend impatiemment, en tout cas. »
« Salut ! Moi c’est Holden mais tu peux me donner un surnom, si tu veux. J’aime bien les surnoms. J’ai 10 ans, tu en as 9 toi ? Tu sais que ta maman est très gentille ? Elle est comme une maman pour moi, mais si je l’appelle maman, la mienne sera triste. Et mon papa, il s’appelle Steeve, mais tu peux l’appeler papa, si tu veux et si ton papa n’est pas triste. J’ai plein de copains ici, tu pourras jouer avec nous, si tu veux. » Je le regardais bizarrement. Maman m’avait dit qu’il parlait beaucoup mais je ne pensais pas que c’était à ce point-là, je n’avais même pas eu le temps d’en placer une. « Je m’appelle Nalani et tu peux m’appeler Nalani. » Je paraissais froid à côté d’Holden mais je n’avais spécialement envie de parler. Quelques temps plus tard, je m’étais parfaitement adapté à ma nouvelle famille que j’aimais plus que tout au monde. Et ne m’inquiétais désormais plus pour mon père ou en tout cas, plus autant qu’avant. J’avais carrément adopté mon beau-père que je considérais comme un père –même si je ne l’appelle pas papa-.
« Pourquoi tu suis Holden partout ? Tu ne te dis pas que peut-être il en a marre de toi ? » Je ne savais pas quoi dire. J’avais treize ans et cela faisait trois ans que je vivais avec ma mère. Dès la première journée, je m’étais directement dirigé vers Holden et je ne l’avais plus lâché. Selon moi, nous étions très proches mais maintenant que j’entendais l’un de ses amis me faire des reproches, je me rendais compte que j’avais sûrement tout faux depuis le début. « Laisse-le tranquille, Jay ! » Le Jay en question détourna son attention de moi pour regarder celui qui était désormais mon demi-frère. « Et pourquoi ? Il te suit partout ! Il n’a pas d’amis ou quoi ? » Holden le regarda avec un regard rempli de colère et je fus soudain très fier qu’il prenne ma défense comme ça. « C’est mon petit frère, imbécile. Et s’il veut rester avec moi, il restera avec moi. Si ça te dérange, ce n’est pas mon problème. » Son petit frère ? Mais nous n’avions même pas les mêmes parents, nous sommes seulement demi-frères par alliance ! Il me fit un clin d’œil et je compris alors qu’il me considérait comme son petit frère. Quand nous fûmes rentrés à la maison, je réclamais un conseil de famille. « Maman, Steeve, Holden. Je vous aime beaucoup tous et j’ai un service à vous demander. Est-ce qu’on peut ne plus jamais parler de mon père ? Je ne veux plus jamais entendre parler de lui. Ma famille, c’est vous. » Depuis, je n’ai plus jamais entendu parler de mon géniteur et j’appelle mon beau-père, non plus par son prénom, mais papa.
CHAPTER FOUR : Meet me halfway
J’étais devant une maison depuis maintenant presque une demi-heure. Je n’étais pas sûre de ce que j’allais faire, et de toute manière, je n’étais même pas certain d’être au bon endroit. « Excuse-moi, je t’ai vu planté là depuis tout à l’heure. Tu es perdu ? » Je tournais lentement la tête vers la personne qui venait de m’adresser la parole. Je vis la jeune femme la plus jolie qu’il ne m’ait jamais été donné de voir. « Je… Je ne sais pas… Est-ce que Leilani Kawena vit encore ici ? » Un sourire apparut sur son visage mais je ne saurais dire si c’était un sourire sincère ou pas. « Oui, malheureusement. Je ne pense pas qu’il vienne t’ouvrir, enfin, tu peux toujours essayer, on ne sait jamais. » Elle commença à tourner les talons, mais je ne pouvais pas la laisser partir comme ça. « Attends ! Pourquoi malheureusement ? » Ce qu’elle avait dit m’intriguait mais j’avoue que je cherchais à perdre du temps. J’étais revenu à Hawaï pour revenir aux sources et pour recontacter mon père. Maintenant que j’y étais, je n’avais qu’une envie : faire marche arrière. « Monsieur Kawena est très gentil quand… il n’est pas bourré ou drogué ou que sais-je. C’est un voisin épouvantable. Oh, mais j’en oublie mes bonnes manières… Je suis Malia Fields-Lowrey et toi ? » Elle me tendait une main que j’hésitais à serrer, sans savoir pourquoi. Cependant, je le fis quand même tandis qu’un demi-sourire apparut sur mes lèvres. « Nalani Kawena, fils du déchet qui vit ici. » Elle parut soudain surprise et gênée. Quoi, c’est moi qui la mets dans cet état-là ? Intéressant… « Alors c’est vrai… » Mon regard interrogateur la poussa à continuer. « Il n’arrête pas de crier sur tous les toits qu’un jour, son fils va revenir et nous botter le cul à nous tous pour défendre son honneur. Tu es venu nous botter le cul ? » Mon regard se tournait vers la maison dans laquelle, apparemment, vivait mon géniteur. Alors comme ça, il se vante d’avoir un fils ? Pourtant, la dernière fois que je l’ai vu, il était loin d’être fier de m’avoir. « J’avoue que je ne le croyais pas » Ajouta-t-elle alors que je ne parlais toujours pas. « Je le déteste, putain. » Voilà les seuls mots qui ont pu sortir de ma bouche. Depuis ce jour-là, je suis revenu tous les jours devant cette maison sans jamais y entrer. J’y venais simplement pour parler avec Malia. Cela fait six mois et je pense pouvoir dire que nous sommes meilleurs amis –même si, je l’avoue, j’aimerais avoir plus que de l’amitié.
« Putain, Holden, tu déconnes ! J’te pensais pas comme ça. T’es censé être mon frère, merde ! » J’étais furieusement en colère contre Holden, mon demi-frère. Il a débarqué il y a un mois de ça, clamant haut et fort que son petit frère lui manquait trop pour rester dans la grosse pomme sans lui. L’une des premières choses que je lui ait avoué, c’est mon attirance pour Malia. Cette fille, je l’ai dans la peau, elle m’obsède. Seulement, nous ne sommes qu’amis et je pense que je n’oserais jamais lui avouer. Et Holden n’a rien trouvé de mieux à faire que de la draguer OUVERTEMENT. « Pourquoi tu le prends comme ça ? Je n’ai rien fait de mal, ‘Lani. » Il se fout de moi ? J’ai juste envie de le donner à bouffer aux requins, là. « Il n’y a pas de ‘Lani qui tienne ! Je suis sérieux, tu sais très bien tout e que je ressens pour elle et toi tu essayes de te la mettre dans ton lit, comme toutes les autres ! Et tu connais le pire ? Malia est venue me voir, puisque je suis son « meilleur ami » en me disant que TU lui plaisais beaucoup ! Comment tu peux me faire ça ? Tu parles d’un frère ! Tu me poignarde en plein cœur, putain. » Il s’asseyait et soufflait. Je comprenais qu’il se sentait coupable, mais ce n’était pas une raison. Peut-être que s’il ne l’avait pas draguée, elle ne m’aurait jamais dit ça. Pourquoi le mec timide c’est toujours le meilleur ami de la belle ? « J’suis désolé p’tit frère, ce n’était pas intentionnel. Je ne pensais pas qu’elle me prendrait au sérieux et que tu l’avais autant dans la peau. Ce n’est même pas mon type de fille, en plus. » Comme je ne reste jamais fâché très longtemps avec lui, je décidais de passer l’éponge mais dans ce cas-là, je vais devoir montrer à Malia que j’aimerais un peu plus que de l’amitié entre nous deux. Ça ne va pas être facile.
| “ INFOS Âge: 22 ans Date de naissance: 17 avril 1989 Orientation: Hétérosexuel Situation amoureuse: Célibataire Pays&ville d'origine: Hawaïen, mais il arrive de New-York Groupe: Shh, I wanna sleep Avatar: Bruno Mars
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Dernière édition par Nalani M. Kawena le Lun 25 Avr - 7:36, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: NALANI . « ihavenotitle.ewo » Lun 25 Avr - 6:27 | |
| “ VOUS SELON EUX Selon sa mère, Nalani est le jeune homme parfait. Il est calme, réfléchit, studieux et ambitieux. Il ne lui a jamais posé de problème et elle peut être sûre qu’il ne ramènera pas de fille enceinte alors que c’était une histoire sans lendemain. Justement, c’est peut-être ça le problème : il est trop timide avec les filles et préfère garder ce qu’il ressent pour lui, pour éviter d’avoir de mauvaises surprises. En fait, son fils, c’est un gros romantique. Elle est fière de lui.
Holden, le demi-frère et meilleur ami de Nalani, dirait qu’il est coincé, vieux-jeu mais marrant comme mec. En effet, Nalani préfère lire un bon livre plutôt que d’aller dans une fête dont personne ne se souviendra tellement ils ont bu. « C’est d’un ennuyant ! » Et puis, jamais Nalani se permettrait de draguer une fille sous prétexte qu’elle est jolie. Oh non, il préfère la connaître et savoir s’ils sont intellectuellement compatibles. « Rasoir. » D’ailleurs, Nalani est toujours puceau et Holden ne se gêne pas pour le lui rappeler et se moquer de lui. « Tu vois le film 40 ans et toujours puceau ? Tu nous fais un remake ou quoi ? » Mais malgré tous ces défauts selon Holden, Nalani respire la joie de vivre et personne ne peut se sentir mal en sa présence. Il est très à l’écoute et très gentil. Peut-être un peu trop. Holden pense que son frère se laisse trop marcher sur les pieds, mais il veille au grain et sera toujours là pour le protéger.
“ VOUS DERRIÈRE L'ÉCRAN Pseudo: Grazyliviah -olivia, en fait. Âge: Presque majeure (a) Avatar: Bruno Mars Double compte?: (si oui, qui?) Nop (: Fréquence de connexion: 5/7 PI ou Scénario?: PI Un dernier commentaire?: Hawaï |
Dernière édition par Nalani M. Kawena le Lun 25 Avr - 7:44, édité 1 fois |
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